Tout d'abord, je remercie le grand-oncle Pacifique de l'autre côté du Grand Étang
pour sa leçon de vocabulaire et d'argot !
Les boutiques de DVD qui font fin de siecle... Comme disait mon père, « Quand la
fin du monde sera arrivée, le Québec aura encore 25 ans. »
Nous, on en a encore, de ces boutiques. On retarde, certes, mais faut pas se priver d'utiliser les
ressources qui existent quand elles existent.
Je m'objecte à ce que quiconque répande des faussetés à mon sujet, à savoir que
je serais un « Linuxien distingué » !!!
Travailler en console, c'est facile une fois qu'on s'est débarrassé de ses préjugés
à l'égard de la console ET de la mentalité pro-paresse, « tout cuit dans le bec »,
qui afflige notre début de siècle.
Non seulement c'est facile, mais c'est souvent plus efficace et plus rapide que de
travailler avec des interfaces graphiques qui sont forcément des interprétations de
ce que font les utilitaires conçus au départ pour la console.
Ces interfaces ne font pas toujours dans le détail, et l'utilisateur y perd, en ce
sens que le type qui a composé l'interface ne donne pas souvent accès à tous les
paramètres de l'utilitaire.
Il y a certainement un livre à écrire sur ce sujet, qui devra avoir un volet mentalité
-- ou même thérapie, tiens donc !, en plus d'un volet technique. Hé, le sentiment
de répulsion à l'égard de la console, ça se soigne !!!
On peut créer en console des menus très intéressants au plan visuel à l'aide des
diverses possibilités qu'offrent bash, urxvt et / ou ncurses, mais bien peu de gens
savent qu'elles existent.
Je contresigne la question d'Argolance : c'est quoi, Silverlight ?
À+
. C'était l'hommage d'un Béotien à l'excellence informatique, qui essaie de se consoler 
, en balbutiant ses premières lignes de commande.
Et puis en quoi ces fichiers SFS sont-ils "rétifs"? Cela vaut au plus un fil dédié ou au moins des détails? 
